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Star Trek : Ontarhia
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6 mai 2006

Episode 10 : Pioneer 11

Episode 10 : Pionner 11.




-Il peut nous voir, demanda Fouif.
-Non, répondit l’officier.
-Mon capitaine, pourquoi il nous aurait mentis ?
-Pour écarter les soupçons peut être.
-Et dire qu’il était avec nous depuis longtemps et je n’ai rien vu, affirma Fouif.
-Il nous a tous trahi, rétorqua le capitaine.
Orlus était installé dans une salle, assis sur une chaise. Au dessus de lui, un bras faisait des allers retours. Orlus était attaché au niveau de la tête, des bras, du bassin et des jambes. Des électrodes étaient raccordées aux niveaux des yeux, du front, du cœur et au bout de chaque doigt. Dans la salle où se trouvaient les trois protagonistes, des ordinateurs traitaient les informations. Il y avait 4 écrans où se dessiner des graphiques.
-Que faites vous, demanda Fouif.
-Nous essayons de repérer le souvenir qu’il a encore en mémoire.
-Le souvenir, insista Fouif.
-Oui.
-Comment ça, vous pouvez retrouver mes souvenirs, n’importe lesquelles.
-Non, que ceux qui sont récents. Après plusieurs jours ou mois, enfin, nous ne savons pas, les souvenir sont stockés dans une autre zone du cerveau. Celle-ci nous ait plus difficile d’accès.  Nous pouvons voir les souvenir mais impossible de  rechercher un en particulier. Nous sommes obligés de  suivre la personne dans ses souvenirs, comme une vidéo.
-Et comment vous les trouvez ? demanda Fouif, intriguée.
-Ils utilisent les systèmes nerveux. Chaque information est diffusée selon une impulsion électrique bien précise. En envoyant une impulsion artificiellement, il arrive à reproduire une demande de souvenir d’Orlus. Est-ce exact ?
-Oui capitaine. Enfin à peu prés, mais sinon le principe c’est exact. 
-Alors, là vous voyez son souvenir.
-J’ai du mal à trouver l’impulsion qui commande ce souvenir. Les personnes du Sous-Monde connaissent nos techniques et arrivent à trouver des combines.
-Comment, demanda le capitaine. C’est possible de contrôler ses souvenirs.
-En se concentrant, on peut rester éveillé, tout en étant dans le pseudo-coma. Il suffit de se dire que vous n’êtes pas en train de vivre l’action, mais plutôt en train de la revivre. Alors vous modifiez le souvenir qui n’en est plus un.
-Je ne suis plus du tout, interrompit Fouif.
-Pour faire rapide, avec une bonne métrise mentale, il est plus difficile de retrouver le souvenir.
-Mais ils ont du subir des heures d’entraînement ?, demanda Fouif.
-Oui, ce n’est pas facile pour le commun des mortels, en tout cas impossible pour les personnes venant des centres. Nous leurs incluons une anomalie dès la conception et depuis des générations.
-Donc notre ami serait donc un Naturel.
- Il y a des chances.



-On ne peut pas luter contre cette flotte avec votre tout petit vaisseau.
-Si vous avez une idée, elle est la bienvenue.
- Je n’en ai pas mais la votre ne me plait pas du tout.
La navette s’avança à toute vitesse sur les croiseurs. De petits chasseurs sortirent de ces derniers.
-Ils ne veulent pas nous détruire.
-Ah bon, et pourquoi ?
-Ils vous veulent en vie.
-Hé comment vous  le savez.
-Car à l’heure où je vous parle, vous auriez du être aux mains du Sous Monde.
-Comment ça le Sous-Monde, mais quel est le rapport?
-Quand nous avions piraté les bases de données de l’alliance, nous nous sommes aperçus d’un cheval de Troyes. Nous l’avons pisté et nous avions eu l’accès à certaines données. Un échange aurait du avoir lieu entre le Sous Monde et les sauvages.
-Mais ils voulaient m’échanger contre quoi ?
-Je ne sais pas.
-Et pour quoi ?
-Pour vos souvenirs. Ceux-ci les mèneraient à Ontarhia. Ils ont eu des images de la colonie vulcaine lors de l’attaque.
-Et en déstabilisant l’alliance, ils prendront le pouvoir. Que faisons-nous ?
Le vaisseau vacilla entre les croiseurs. Les chasseurs sauvages s’échappèrent des croiseurs et commencèrent à tirer  sur la navette.
-Je pensais qu’ils n’allaient pas tirer, fit Lifty.
-Je pensais qu’ils vous voulaient vivant, répondit le soldat.
La navette reçut plusieurs coups de laser. Certains vénèrent frapper les réacteurs.
-Je ne crois plus qu’ils veulent nous avoir vivant.
-Je le craints aussi.
-Ou peut être qu’ils font ça pour nous faire peur.
-Pour que nous faisions demi-tour.
-Exact.
Le soldat emmena la navette au plus près des  croiseurs. Les tours de défenses commencèrent à lâcher leurs projectiles.
-Allons-nous faire du looping encore longtemps ?
-J’essais de trouver un emplacement pour pouvoir partir en hyper propulsion.
-Ah. Et pour aller où ?
-Je ne sais pas. Vous n’avez qu’à en chercher une destination pendant que je trouve un espace.
-Bien sur, c’est demandé si gentiment.


-Katelina ?
-Oui Estopia.
-Je capte une communication crypté venant du conseil.
-Et qu’est ce que ça raconte ?
-Une réunion imminente est prévue sur PX4-D25.
-Que se passe-t-il ? se demanda Katelina.

-Tiens donc.
-Quoi donc, répondit le soldant.
-Je détecte une communication crypté ? Avons-nous un outil dans ce rafiau qui pourrait nous le décrypter ?
-Bien sur, il y a même un bar au fond.
-Je ne savais pas que nous vous avions intégré l’humour dans vos systèmes.
-Je ne suis pas un robot, répondit sèchement le soldat.
L’atmosphère se refroidir en un instant. Le calme régna dans la navette. Lifty  avait comprit que sa phrase avait choqué le soldat. Il le regarda mais celui-ci resta fixé sur les croiseurs ennemis.
-Excusez-moi de vous avoir offensé, fit Lifty.
-Je ne serais toujours qu’un produit à vos yeux, donc évitez les formules de courtoisie.
-Je me suis excusé et vous… Pfff. Tous les même. Ca se plaint toujours, on essaie de faire des efforts et ça ne plait pas. Devons nous subir perpétuellement votre jalousie vis-à-vis de notre supériorité mentale ?
Le soldat resta bouche-Bé. Que répondre à ceci se demanda-t-il.
-REUNION, cria Lifty dans la navette.
-Pardon, fit le soldat.
-Connexion sécurisé, message crypté envoyait à travers tout l’univers. C’est un signe d’une réunion du conseil.
-Comment le savez-vous ? Okay, où va-t-on alors ?
-Je ne sais pas. Les coordonnées doivent se trouver dans le message. Mais nous ne pouvons pas le lire. Il nous faudrait un moyen pour pouvoir savoir mais dans cette navette, rien ne nous le permet. Seul le ST Raider peut décoder ce code.
-Et comment pouvez vous savoir que c’est le seul ?
-Certes, ce n’est peut être pas le seul mais en tout cas, c’est le meilleur.
-C’est vous qui l’avait fait je présume ?
-Oui. Lifty eu un sourire de satisfaction.

-Katelina, je reçois une communication non identifié.
-Ah bon ? De quel système d’où provient le message ?
-Du système d’Exorta.
-Qui a-t-il ? Serait ce Lifty ? Il n’y a qu’un seul moyen de le savoir, ouvrez le message.
-Vous êtes sur Katelina ? Il y a peut être un virus que je n’ai pas su détecter.
-Ouvrez.
-C’est une demande de communication avec une navette.
-Est-ce que vous m’entendez ? Je suis Katelina du vaisseau ST Raider et vous ?
-Katelina ? fit une voix.
-Oui, répondit-elle.
-Où est Lucky ?
Lucky. Peut de monde pouvait appeler le capitaine par son nom.
-Qui êtes-vous ? Répéta Katelina.
-C’est moi Lifty. As-tu eu un message Crypté ?
-Lifty, c’est bien toi ? Nous étions tous inquiet. Que c’est-il passé ? Où tu es ?
-Oui c’est bien moi et est ce que tu as reçu un message crypté ?
-Mais que se passe-t-il ?
-Katelina je vais bien, je suis en sureté et je veux savoir si tu as reçu un message crypté ?
-Oui j’en ai reçu un. Mais es tu certain que ça va ?
-Oui tout va bien dans ce meilleur des mondes. Que raconte le message.
-Il y a une réunion du conseil.
-Où ça, quelle planète ?
-PX4-D25.
-Tu es certaine ?
-Oui.
-Rejoints nous à ses coordonnées.
-Je ne peux pas.
-Pourquoi ?
-Le capitaine n’est pas là.
-Ah oui c’est vrai. Il est où ?
-Sur Terre.
-Sur Terre ? Insista Lifty.
-Oui, Mais je ne sais pas pourquoi.
-De quoi ?
-Enfin si je sais mais je ne sais pas pourquoi le capitaine veut qu’Orlus contacte ces personnes
-Mais que se passe-t-il ? Je vous laisse quelques jours seul et voilà ce qui arrive.
-Fin de transmission, fit Estopia.
-Pourquoi, que se passet-il, demanda Katelina.


-Pourquoi ça a coupé ?
-Les croiseurs, ils ont du mettre un brouillard magnétique. Alors comme ça vous êtes en sureté ?
Lifty regarda le soldat.
-Pour l’instant, oui, mais je ne sais pas ce que vous manigancez ?
-Moi je manigance ? Et que voulez vous faire sur la planète du conseil ?
-Je ne manigance pas, j’ai un plan.
-Alors là c’est moi qui ne suis plus en sureté.
-Tiens, c’est calme. Où sont les chasseurs ?
-Ils sont derrière nous et les croiseurs devant.
-Ah, nous ne sommes donc pas en sureté.
-Non, répondit le soldat.
La navette se trouva au milieu de l’armada des sauvages.


-Capitaine sur le pont, fit un officier.
-Estopia, met le cap sur PX4-D25.
-Comment savez-vous mon capitaine, demanda Katelina surprise.
-Comment savez-vous quoi, fit le capitaine.
-Que nous devions aller sur cette planète.
-Il y a une réunion du conseil et j’y suis convié.
-Ah.
-De quoi ah ? Et comment saviez-vous-vous ?
-Nous avons reçus un message crypté. Et Lifty nous demande de nous y rendre aussi.
-Lifty, vous avez eu des nouvelles de Lifty. Est-il en bonne santé ?
-Oui mon capitaine. Enfin je crois. Nous avions été coupés.
-Et qu’a-t-il dit d’autres.
-Rien mon capitaine.


PX4-D25 était une planète laissé, en l’apparence à l’état sauvage. Mais en dessous de l’immense foret vierge, il y avait un complexe militaire. Dans ce complexe, ce trouvait un immense amphithéâtre où était réunis tous les conseillers ainsi que le chancelier et le conseiller suprême. Le capitaine était également présent. Il y avait aussi l’étrange conseillère qui l’avait interpellé. La salle était sphérique. Il n’y avait pas de mur ni de plafond, c’était un tout. De l’intérieur, on aurait pu dire que la salle était sous un dôme. Les rangés de sièges étaient circulaire autour du centre de la pièce. Là, se trouvait le chancelier, le conseillé suprême ainsi que d’autres diplômâtes. Il y avait peu de luminosité. Il n’y avait pas de lampe. C’était la roche qui produisait de la lumière. Le chancelier prit la parole.
-Mes chers conseillers, diplomates ou autres personnes de l’alliance. Je vous ai demandé de venir ici car la situation l’exige.
Toute l’assemblée l’écouta avec attention.


La navette commença à tourner en rond dans le peut d’espace qui lui était octroyé.
-Vous n’allez pas… Lifty n’eut le temps de finir sa phrase.
-Mais si je vais.
-Vous n’avez pas la place pour ouvrir une fenêtre.
-Accrochez-vous.
La navette fonça en direction des croiseurs. Les canons de ses croiseurs commencèrent à riposter contre l’éventuelle attaque. La navette s’approcha dangereusement  des croiseurs puis disparut. Les chasseurs se dirigèrent alors vers les croiseurs. Puis une fois rentrés dans ces derniers, les croiseurs pivotèrent, puis ouvrirent une fenêtre et disparurent à leur tour.

-Les administrateurs se sont à leurs tours rebellés contre l’alliance.
Un brouhaha se fit entendre.
-Comment pouvons-nous maintenir l’ordre sans nos soldats.
-Les soldats sont morts, répondit le chancelier.
Comment ça, se demanda le capitaine, ainsi que la pluparts des conseillés. Pour eux, ceci ne pouvait arriver. C’était la plus puissante armée de l’alliance. Et elle ne pouvait pas tomber, ou plutôt, elle ne devait pas tomber.
-Comme vous le saviez, un virus a vu le jour chez les soldats. Et ils nous aient impossible de lutter contre celui-ci. Le programme de destruction était donc mis en marche. Mais les administrateurs se sont réuni sur Exorta avec les quelques survivants. Mais ils subissent actuellement une attaque de sauvage et j’ai peur que nos flottes arrivent trop tard.
Les conseillers se regardèrent. Que pouvaient-ils faire sans leurs élites.


Un bâtiment était érigé dans la forêt. Il sortait à peine de la forêt mais il était visible au sol. Le soldat et Lifty se tenaient cachés dans les arbres.
-Ils sont un peu trop nombreux, fit Lifty.
-Ils savent que nous sommes là.
-Un piège ?
-Oui.
-Que faire alors ?
-Y tomber.
-Pardon ?
A ses mots, le soldat se laissa tomber de la branche sur laquelle il était posé. Dans sa chute, il tua les soldats avec sa Moloch-17. La Moloch-17 était une mitraillette qui pouvait envoyer 10 impulsions lasers par seconde. Des cyborgs sortirent du complexe. Les cyborgs lui étaient familiers, car se sont les même qui auraient dû l’exécuter. Il tira sur les robots tout en esquivant leurs tirs. Tous tombèrent les uns âpres les autres. Mais au moment de tuer le dernier, sa Moloch-17 se tue. Il la regarda puis leva sa tête en direction du cyborg. Il courra vers se dernier puis sauta et lui décrocha un coup de pied qui lui arracha la tête. Il prit la crosse de son arme puis explosa la tête du cyborg.
-Tu peux descendre, cria-t-il.
Lifty descendit.
-Il faut se dépêcher, d’autres sont en chemin.
Ils empruntèrent le passage qui les fit descendre dans le complexe. Le soldat tira sur toutes les caméras et les personnes qui se trouvaient sur son chemin. Lifty resta caché derrière lui et regarda les cadavres avec tristesse et écœurement. Les scientifiques n’étaient pas fait pour faire la guerre, ni la vivre.
Les deux compères se  trouvèrent devant la porte de la salle du conseil. Ils entendirent les cyborgs qui arrivaient. Le soldat regarda Lifty et lui demanda :
-Comment pouvons-nous ouvrir cette porte ?
-J’ai ce qu’il faut. Ce petit engin va nous permettre d’ouvrir une brèche dans le programme de sécurité. Ceci, afin d’ouvrir cette porte sans attirer la foule.
-Et dans combien de temps ceci est prévue.
-Si on ne m’interrompt plus, je pense dans quelques minutes.
-Secondes auraient été plus juste car je ne pense pas pouvoir vous offrir plus.
-Comment ça ? J’ai dit minutes. On ne rentre pas dans une réunion du conseil comme dans sa chambre.
-Si vous continuez à parler au lieu de trouver un moyen de nous faire entrer, je crois que nous aurons la  visite de ces robots que vous aimez bien.
-Il y a trop de bruit, je n’arrive pas à me concentrer.
Le soldat aurait aimé heurter la tête de Lifty avec le manche de sa Moloch-17. Mais il lui était trop utile. Il restera donc en vie pour cette fois.


-Katelina, je détecte une navette à quelques kilomètres de l’entrée du complexe. De plus, il n’y a plus aucune communication externe avec le complexe.
-Que se passe t-il, fit Katelina.
-Je détecte une arrivée de vaisseaux sauvage imminente.
-Combien ?
-Ils sont en hyper-espace, je ne peux pas chiffrer le nombre.

-Je crois qu’il va y avoir un peu de dégât. Vous devrez prendre une arme, fit le soldat.
-Pardon. Une arme ? J’ai bientôt fini. Essayez de les retenir.
-Et de vous maintenir en vie par la même occasion ?
-Bien sûr.
Les Droïdes entrèrent dans la vision du soldat. Celui-ci lança une grenade électromagnétique qui les mit hors services.

-Moins de bruit, fit Lifty. Et en plus vous avez faillit détruire mon pc.
-Désolé, j’ai oublié le silencieux.
-C’est bon. Nous pouvons entrer.
La porte s’ouvra. Lifty et le soldat entrèrent dans le sas qui était situé entre la salle du conseil et le couloir.  Le soldat referma la porte.
-Oh génial, une autre porte, fit-il.
-Je pense pouvoir l’ouvrir plus rapidement. Oh… Elle est déjà ouverte.
-Ah ça c’est du rapide.
-Vous êtes prêt ? Demanda Lifty.
Les deux se regardèrent. Que fallait-il faire se demanda Lifty. Ils étaient sur le point de révéler à l’homme le pourquoi de sa création. Ils allaient engendrer une énorme révolution et celle-ci pourrait être destructrice. Ah qui ceci pourrait profiter, se demanda Lifty, les Sauvages ou le Sous Monde.
-Vous hésitez, fit le soldat.
-Non, bien sûr que non. Lifty s’avança vers la porte puis s’arrêta.
-Je vais y aller, fit à son tour le soldat. Mais celui-ci s’arrêta également devant la porte.
La peur de l’inconnu empêchait tout franchissement de la porte. Il avait parcouru des millions d’années lumières pour rester devant la porte. Cette porte qu’ils voulaient tant franchir pour dévoiler à l’univers la réelle existence des hommes.
-Est-ce qu’ils vont nous croire, fit Lifty.
-Pourquoi ne nous croiraient-ils pas ?
-Parce que nous sommes deux condamnés à une mort certaine.
-Et ils croiront que nous sauvions nos peaux en dévoilant ce secret.
Les cyborgs avaient trouvé le moyen de pénétrer dans le SAS. Ils utilisaient un laser pour pouvoir couper la taule.
-Le temps joue contre nous.
-Je sais, répondit Lifty. Il prit une inspiration et ouvra la porte.



-Contacte visuel, fit Estopia.
-Que pouvons-nous faire contre ceci, fit Katelina.

-Mauvaise salle.
-Comment ça mauvaise salle. Vous vous êtes trompé.
-Non je ne me suis pas trompé.
-Si  nous ne sommes pas dans la bonne salle, c’est que vous vous êtes trompé. Ah quoi servent les génies ?
-Mais j’ai suivi le plan. D’après le plan, la salle devrait être là.
-Et bien non. Je ne vois que … Il s’interrompit. Qu’est ce, fit le soldat.
Lifty se décala et reconnu l’objet.
-Non. Ce n’est pas possible.
-Qu’est ce que ceci, insista le soldat.
Devant les yeux du soldat se trouva l’organisme qui avait prit le contrôle du ST Raider. La porte se referma derrière eux.  Puis un moine apparut en hologramme.

« Il n’y a pas d’issue possible. Toute résistance ne pourrait que nous ralentir. Vous n’êtes que des êtres inférieurs. Abaissez vous devant notre supériorité. La mort est votre châtiment pour être venue nous envahir. »

-Ils se prennent pour qui, fit le soldat.
-Comment ça, vous avez compris.
-Vous savez, même  si je ne suis qu’un soldat, je peux comprendre le même langage que vous.
-Mais d’habitude, ils ne parlent pas comme nous.
-Comment ça ?
-Ils utilisent une ancienne langue terrienne.
-Pardon ? Terrienne ?
-Oui exactement. Il se rapproche de la Terre, ils la cherchent, mais pourquoi ?
Un bruit sourd se fit entendre dans le SAS. Les cyborgs avaient du y pénétrer. Lifty toucha la sphère. Devant ses yeux, la chose se transforma en un vaisseau. Le même qu’il avait utilisé avec Fouif.  Le soldat resta figé.
-Comment ceci a-t-il pu se produire, se demanda-t-il. Et comment savez vous qu’ils cherchent la Terre.
Lifty se souvenait de cette aventure sur cette planète. Ainsi que la séquestration  de Fouif.
-Disons qu’ils le savent, répondit Lifty.



L’espace était vide et calme. Il n’y avait pas de vaisseaux, ni d’astéroïdes. Seul un satellite traversa l’étendue paisible. C’était un très ancien satellite. Il n’était même plus référencé dans la base de données. Il était très rustique et en mauvaise état, mais il fonctionnait toujours. A son centre, se trouvait une antenne circulaire. Trois antennes sortirent du satellite pour former un triangle équilatéral si nous relions les extrémités. Il y avait une plaque doré. Il y avait gravé un dessin d’un homme nu, une femme nu ainsi que plusieurs planètes du système solaire, dont la Terre. Il y avait aussi plusieurs sons ainsi que de nombreux langages. Alors même que l’espace était vide de tout astre, plusieurs apparurent. Des dizaines de planètes entouraient maintenant le satellite. Les planètes ressemblèrent à la même que celles découverte par les explorateurs.

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